Les résultats des chirurgies réfractives de surface

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Certes, les risques de complications existent toujours. Néanmoins, les résultats des chirurgies réfractives de surface deviennent de plus en plus spéctaculaires. Ces chirurgies sont aussi de plus en plus sûres. Pas étonnant donc si le nombre de Français, candidats aux différentes techniques de chirurgie réfractive augmente de jour en jour. En effet, plus de deux cent milles déficients visuels par an se prêtent à ces opérations. Force est de constater que la majeure partie d’entre eux parviennent à ne plus dépendre des lunettes ni des lentilles de contact. C’est d’ailleurs la principale motivation à l’acte.

Les performances acquises, découlent du fait que le bilan opératoire soit pris très au sérieux. C’est ce qui va permettre d’éliminer les mauvais candidats, de déterminer la technique la plus adaptée à chaque patient, et de prévoir les solutions appropriées en cas de problèmes post-opératoires. À cela s’ajoute la technologie très avancée utilisée par le personnel médical et également apportée aux supports et matériels. La sécurité est d’autant plus élevée s’il s’agit des techniques chirurgicales plus légères que sont celles agissant sur la surface de la cornée. Ce sont notamment la PKR, la plus ancienne et l’Épi-Lasik, sa version plus récente et plus moderne. Qu’en est-il de ces techniques et des résultats qu’elles procurent ?

Résultats des chirurgies réfractives de surface : les techniques courantes

La PKR et l’Epi-Lasik constituent actuellement, les deux chirurgies réfractives de surface au laser excimer, les plus pratiquées. Ces techniques sont recommandables pour le trouble réfractif jusqu’à 6D pour la myopie, à 4D pour l’hypermétropie et à 3D pour l’astigmatisme. Elles constituent principalement, les solutions à adopter pour les cornées fines, irrégulières, l’œil à sécheresse oculaire préexistante, pour lesquels le Lasik est contre-indiqué. Il en est également des personnes exposées au choc violent à cause de leurs activités (sport de combats, pompiers, militaires).

Ces techniques ne traitent pas les troubles, mais donne à l’œil l’acuité visuelle procurée par les lunettes et les lentilles des contacts, sans ces dernières. Elles permettent également d’user seulement des lunettes dans des conditions exceptionnelles (conduite en pleine nuit).

La différence entre les deux techniques se trouve principalement dans la façon d’enlever totalement ou non l’épithélium afin de permettre au laser excimer d’accéder à la surface du stroma sur l’inconfort. Pour la PKR, l’abrasion de l’épithélium se fait avec une brosse rotative souple ou une spatule. L’acte est facilité par l’action d’un produit mis au préalable sur l’épithélium. Pour l’Epi-Lasik, l’épithélium est enlevé totalement ou soulevé pour être remis en place après, grâce à une sorte de bistouri automatisé, à lame en plastique, appelé épikératome. L’inconfort des suites post-opératoires et la durée de récupération visuelle diffèrent un petit peu et au profit de l’Epi-Lasik.

Chaque tir laser enlève ensuite par vaporisation, une partie du stroma superficiel mis à nu selon l’importance du défaut et sur la zone définie pour la photoablation.

Comme toute chirurgie, ces techniques comportent des risques et effets secondaires, mais qui sont très réduits

Enfin, les résultats obtenus, après deux ou trois mois, sont semblables à ceux du Lasik, après un mois.

Chirurgies réfractives de surface : les résultats que ces techniques sont en mesure de procurer

Sur la récupération visuelle

Pendant les 4 premiers jours, après l’opération, la vision du sujet avec une technique de chirurgie réfractive est en générale trouble. La vue peut présenter des fluctuations (alternance de vision floue et plus nette). C’est à partir du quatrième ou 5ème jour (jour où l’ophtalmologue retire la lentille pansement) que la vision commence à s’améliorer. L’acuité visuelle peut aller de 6/10 à 5/10 selon le patient. Toutefois, il peut persister un léger flou de temps en temps qui disparaît en général à partir du 15ème jour. La vision commence à se stabiliser entre le premier et troisième mois post-opératoire.

Par rapport au Lasik, la PKR et l’Épi-Lasik ont comme inconvénient principal une durée de cicatrisation imprévisible. Cette cicatrisation est en effet fonction de la personne concernée. Cela entraîne l’impossibilité de prévoir avec précision l’obtention du résultat définitif, qui sera finalement très proche de celui du lasik.

Sur le taux de satisfaction des patients concernant le résultat proprement dit

Avec la technologie actuelle, le taux de satisfaction des patients opérés est excellent. Il a d’ailleurs atteint plus 90 % avec le résultat final obtenu par PKR ou Épi-Lasik.

Près de 98 % d’entre eux ne dépendent plus des lunettes après une seule opération des yeux au laser de surface. Et près de 3 % ont eu recours à des traitements complémentaires (retouches). Ces chiffrent émanent des publications issues des sondages auprès de patients.

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Genevre Batard

Bonjour, je m'appelle Genevre et j'ai 37 ans. Je suis Administrateur de clinique ophtalmologique. Passionnée par mon métier, mon objectif est d'assurer le bon fonctionnement de la clinique pour offrir un service de qualité à nos patients. Mon expertise en gestion et en organisation me permet de veiller au bon déroulement des activités et à la satisfaction des patients et du personnel. Je suis déterminée à contribuer au bien-être visuel de chacun et à garantir un environnement professionnel optimal. Au plaisir de vous accueillir dans notre clinique !
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